1. Le système MORA utilisé en morathérapie (voir le chapitre traitant spécifiquement du sujet)
2. Le système BICOM élaboré par Hans Brugemann qui reprend les principes de fonctionnement du MORA avec quelques modifications comme l’ajout de champs magnétiques pulsés en variation de fréquences croissantes ou décroissantes ou la possibilité de faire varier automatiquement les paramètres H (ondes physiologiques) et D barré (ondes pathologiques que l’on inverse afin de les amortir) au cours du traitement.
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3. Le système PROGNOS est un système de biorésonance qui permet de faire une évaluation des méridiens comme le font le MORA et le BICOM, mais avec une sonde spécifique à pression permettant une grande reproductibilité des mesures, un confort pour le patient et une grande rapidité dans la prise des points. Le logiciel fait l’analyse et les résultats sont présentés sous forme de graphiques. Le système PROGNOS permet également de tester tout un ensemble de produits via un casque audio. Le bruit « blanc » audible est modulé par les informations analogiques enregistrées sous forme digitale dans le logiciel.
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Le METATRON (Physioscan amélioré) lui permet d’analyser les systèmes organiques et fonctionnels via un signal de basse fréquence transporté par une onde porteuse de haute fréquence. L’émetteur‑récepteur intégré sur le casque qui coiffe la tête du patient. Le logiciel présente alors les schémas des organes avec différents degrés de stress allant de 1 à 6 (stress maximal). L’entropie peut également être analysée. À partir de ces données, des corrections fréquentielles peuvent être envoyées soit par « métathérapie » ou par « réinformation » directe de l’organe qui dysfonctionne. Possibilité également de tester des remèdes.
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5. Le CoRe INERGETIX, autre système de biorésonance, élaboré par Kiran Schmitt, se différencie des autres technologies par le fait qu’il travaille sur l’information pure. Il ne s’agit plus ici d’un signal correspondant à une modulation de fréquence d’une onde porteuse, mais plutôt d’une information « intrinsèque » c’est‑à‑dire du « sens » d’une idée, d’une notion, d’un symbole… La résonance trouvée, il est possible de l’envoyée en direct via un support énergétique (son, couleurs, champs magnétiques pulsés, électricité) ou à distance sur le patient traité sans support (radiesthésie). Un générateur de nombre pseudo‑aléatoire, issue des travaux de l’Université de Princeton, permet de choisir des réponses percutantes à travers une banque de données gigantesques en moins de 5 minutes. Il remplace le travail effectué par le radiesthésiste avec une reproductibilité supérieure à 80%.
Représentation du Physioscan et du Système CoRe
6. Le VégaCheck, système d’analyse précieux utilisé en biorésonance, élaboré par la société allemande WEGAMED, permet d’évaluer les liquides organiques. Intéressant pour localiser des zones dysfonctionnelles et se faire une idée de l’équilibre acido‑basique.
Le patient est relié à six électrodes. Un micro courant est alors envoyé par deux fois sur toutes les dérivations. Les anomalies de conductivité électrique sont ensuite analysées par le logiciel qui donne les résultats sous forme de graphiques et de commentaires. On peut ainsi détecter des perturbations de zones. C’est une analyse segmentaire qui oriente la suite du travail effectué en biorésonance.
7. Le VégaTest est un système de biorésonance qui permet de préciser les données issues du VégaCheck.
Il va permettre de tester toute une série de toxiques (métaux lourds, pesticides, additifs alimentaires…) en utilisant la méthode de Voll c’est‑à‑dire la méthode de mesure utilisée déjà par les systèmes MORA, BICOM ou PROGNOS.
À noter qu’il s’agit d’une sonde rétractable comme pour le PROGNOS et que la mesure s’effectue sur un point unique.
Les substances détectées sont ensuite enregistrées sur une carte magnétique servant de support. Le patient peut poursuivre ainsi le traitement sur une durée de dix jours.